Juliette est technicienne en biologie moléculaire (Ifremer) à IHPE depuis 2019.
Originaire d’Auvergne, Juliette a toujours été passionnée de biologie puisqu’elle a enchaîné un bac scientifique avec option génie biologique, puis un BTS Biotechnologies, qu’elle a complété par une licence pro BAE qu’elle est venue faire en Occitanie.
Technicienne de biologie moléculaire, elle réalisait plus particulièrement du génotypage de microsatellites et des constructions de banques génomiques pour du séquençage haut débit de type Illumina. Elle avait également des responsabilités en gestion de laboratoire. Après 7 ans sous contrat à l’ISEM et en plein bilan de compétences Juliette a intégré sur concours l’Ifremer et l’IHPE !
Sur le site montpelliérain d’IHPE, Juliette est co-responsable du plateau commun de biologie moléculaire en binôme avec Corinne BOUVIER de l’unité MARBEC. Elle apporte un soutien aux utilisateurs, participe aux évolutions techniques du plateau, assure l’entretien du matériel et la commande de fournitures. Juliette apporte aux projet de l’unité son expertise dans l’extraction d’ADN/ARN, la PCR, la gPCR, la construction de banques. En 2022, elle a eu l’opportunité d’intégrer le projet
SAVE sur l’adaptation des récifs coralliens et a effectué une mission de terrain pendant 5 semaines en Nouvelle-Calédonie.
Au quotidien, outre les expériences de biologie moléculaire, Juliette contibue à la gestion du labo (stocks, maintenances …) aux côtés de Gaëlle, Océane, Marc et Eric. En plus du suivi du projet SAVE pour lequel elle effectue maintenant le traitement des échantillons, elle collabore régulièrement avec les collègues de Perpignan et de l’Ifremer de Sète. Progressivement, Juliette a pris des responsabilités transversales pour l’unité, notamment dans le domaine Hygiène & Sécurité en tant qu’Assistante de prévention (AP). Elle encadre chaque nouvel arrivant pour une visite des locaux et la transmission des consignes. Juliette est également très engagée dans le groupe de travail “QVT & RPS”.
Juliette apprécie autant la démarche scientifique fondamentale que le volet organisationnel de son travail. Elle se plaît dans son quotidien et souhaite pour l’avenir développer de nouvelles compétences en microbiologie et pourquoi pas … repartir sur le terrain !